La Députée encore et toujours sur le terrain
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« L’ensemble des visites me démontrent combien les gens sont attachés à leur travail, à leur cadre de vie. Leur engagement au quotidien et leur volonté me donnent confiance dans nos capacités à relever les défis ».

A l’abattoir municipal de Bergerac le Lundi 27 Mars en présence de la Radio Télévision Suisse, de Jocelyne Porcher, chercheure à l’INRA, de Stéphane Dinard, éleveur en Dordogne et du directeur de l’abattoir Monsieur Allègre


De quel droit donne t-on la mort à un animal ? Brigitte Allain a répondu : il faut accepter le cycle de la vie et de la mort et dans une société qui s’urbanise, le rapport à la mort est devenu compliqué ».
Les échanges entre le directeur de l’abattoir, la chercheure, l’éleveur, la députée et les journalistes ont montré combien le rapport aux animaux renvoyait à des choix importants pour les citoyens-consommateurs et pour les politiques.
« Seules de nouvelles politiques qui relient agriculture, alimentation et territoires peuvent redonner du sens à l’élevage et donner sa vraie valeur à une viande de qualité ».

Avec le Directeur général adjoint du groupe Valette

Au groupe Valette avec Monsieur Gardeux Directeur Général Adjoint  le 19 Avril
Les conséquences concrètes de la crise de la grippe aviaire pour une petite entreprise : chômage partiel, inquiétudes sur l’avenir, interrogations sur la concentration croissante au niveau de la production et de la transformation.
Selon lui, « une des mesures du pacte de lutte contre la grippe aviaire et de relance de la filière, la claustration des canards, peut remettre en cause radicalement et brutalement le système d’élevage du canard gras en plein air ».

Le députée qui s’est mobilisée dès janvier 2016 pour défendre les mesures pour sauvegarder les élevages fermiers, a ainsi pu mesurer les conséquences économiques concrètes également sur les petites entreprises d’abattage et de transformation .
Pour le groupe Valette, les mesures de chômage partiel ne suffisent pas à compenser le déficit de production. Elle en fera part au prochain ministre de l’agriculture pour que le Périgord conserve cette filière emblématique qui en fait sa renommée.
A l’Établissement de Services d’Aide par Le Travail et aux foyers de vie de Gammareix le 04 Mai
Elle a été reçue par l’ensemble des responsables d’établissement . Ils ont témoigné de leur adaptation aux évolutions des besoins de personnes atteintes de handicap et aux évolutions réglementaires.

Scierie de l’ESAT

«  Les personnels qui accueillent ces personnes méritent beaucoup d’attention et d’écoute d’autant que ces établissements apportent bien sûr une véritable richesse économique mais surtout ils aident à reconsidérer la place des personnes handicapées dans notre société. Au site de Gammareix, tout est mis en œuvre pour respecter chacun dans sa singularité, pour adapter l’activité au type de handicap. »